About

The project

The project analyses the spatial dynamics of transnational diplomatic training to provide new understandings of postcolonial state-building in Francophone and Anglophone Africa. Funded by the Leverhulme Trust, this research examines a 40-year period (1957-1997) in which diplomatic training became an increasingly internationalised, professionalised endeavour. This was a consequence both of the accession to the UN of a large group of newly independent African states for which new diplomats were required, and the growing activities of international organisations and universities in diplomatic training. Sitting at the crossroads of political geography, diplomacy studies, education studies and postcolonial and African history, the findings of this project will have a wide range of applications and impacts.

Aims

• To examine diplomatic training as a site of knowledge production and diplomatic socialisation, considering how gender, race and class interact with the performance of solidarity and tutelage in the context of diplomatic training.

• To investigate the geography of diplomatic training, focusing on the locations and micro-spaces of training, and the transnational networks of funding, people, and knowledge which underpinned it.

• To understand the impact of training on the emergence of the African postcolonial diplomatic sphere, including how trainers and students reproduced or reshaped western and colonial diplomatic norms.

• To broaden empirical and theoretical understandings of the geopolitics of decolonisation and postcolonial state-building in Africa through a focus on everyday training spaces.

Le projet

Dans le cadre de ce projet, nous analysons les dynamiques spatiales de la formation transnationale des diplomates, dans l’objet d’améliorer la compréhension des constructions des états-nations postcoloniales en Afrique francophone et anglophone. Financé par le Leverhulme Trust, cette recherche examine une période de quarante ans (1957-1997) où la formation des diplomates devenait de plus en plus une entreprise internationalisée et professionnalisée. Ceci était la conséquence de l’indépendance et accession à l’ONU d’un grand nombre d’états africains nouvellement indépendants ayant besoin de nouveaux diplomates, et les activités croissantes des organisations internationales et des universités dans la formation diplomatique. Les conclusions de ce projet auraient de nombreux applications et rapports avec la géographie politique, la diplomatie, l’éducation, et l’histoire postcoloniale et africaine.

Objectifs

• Examiner la formation diplomatique en tant que site de production de connaissances et socialisation diplomatique, considérant comment le genre, la race et la classe sociale interagissent avec les performances de solidarité et de tutelle au contexte de la formation diplomatique.

• Étudier la géographie de la formation diplomatique, focalisée sur les endroits et les micro-espaces de formation, ainsi que les réseaux transnationaux de financements, personnes et connaissances qui la soutenaient.

• Comprendre les impacts de la formation sur l’émergence de la sphère diplomatique de l’Afrique postcoloniale, et comment les étudiants et enseignants refaçonnaient et reproduisaient des normes diplomatiques coloniaux où occidentaux.

• Approfondir les connaissances théoriques et empiriques de la géopolitique de décolonisation et des constructions d’état-nations postcoloniaux en Afrique à travers les espaces quotidiennes de formation.